En 2020, divorcer est rentré dans les mœurs françaises. Si spontanément, le divorce représente une véritable contrainte pour une majorité de couples de l’Hexagone, la donne change. En effet, depuis plusieurs années, le divorce par consentement mutuel a fait son apparition et il faut bien reconnaitre que son arrivée a bousculé les choses. Cependant, ce fameux divorce par consentement mutuel respecte plusieurs critères particuliers qui ne sont pas forcément connu du grand public. Zoom sur le divorce par consentement mutuel et ses différentes modalités.
Le consentement mutuel, c’est quoi ?
A l’heure où de nombreux couples se déchirent durant leur séparation, le divorce par consentement mutuel tranche véritablement. Il faut dire que la simplification des formalités administratives est un avantage considérable pour les couples concernés. A l’inverse du divorce classique, le consentement mutuel permet au couple de ne pas passer devant le juge des affaires familiales. Un gain de temps évident qui permet aux deux parties de prendre un nouveau départ rapidement. Attention toutefois, car dans le cas où un enfant des époux souhaite se présenter devant le juge des affaires familiales, la procédure peut prendre plus de temps.
L’indispensable avocat
Afin de valider un divorce par consentement mutuel, la présence d’un avocat est obligatoire. Comme la rédaction de la convention entre les époux ne peut être effectuée que par un avocat, il est préférable de s’assurer les services d’un professionnel pour valider la procédure. Enfin, il est obligatoire de déposer la convention chez un notaire pour définitivement entériner la décision. Si cette option est aussi appréciée des français, ce n’est pas uniquement lié à son mode de fonctionnement. Certes, ce paramètre joue mais pas autant que le tarif. Car il suffit de jeter un œil sur les tarifs pratiqués pour divorcer par consentement mutuel pour comprendre que cette solution est aussi économique. Comme quoi le divorce pas cher peut aussi exister au 21ème siècle…